Organisation de la Coopération Islamique
La Voix Collective du Monde Musulman
Date: 05/12/2007
La cérémonie de prise de fonction du nouveau Directeur Général de l’Agence Islamique Internationale de Presse (IINA), Monsieur Erdem Kuk, de la République de Turquie s’est déroulée ce matin mercredi 5 décembre 2007.
Dans une allocution prononcée à cette cérémonie, qui a été couverte par la presse, le Secrétaire Général de l'Organisation de la Conférence Islamique, Pr. Ekmekeddin Ihsan Oglu a rendu hommage à Son Excellence Iyad Ibn Amine Madani, ministre de la culture et de l’information du Royaume d'Arabie Saoudite, président du Conseil d’Administration de l’Agence, pour le soutien et l’intérêt qu’il accorde à la réforme et à la modernisation du système d’information de l’OCI, en application des dispositions du Programme d’Action Décennal, adopté par la 3e session extraordinaire de la Conférence Islamique au Sommet, tenue à Makka Al Moukarrama en décembre 2005. Ce sommet avait décidé la restructuration de l’Agence, afin de la dynamiser et de lui permettre de jouer un rôle dans la réactivation de l’Action Islamique Commune, l’élargissement des échanges d’informations entre les Etats membres de l'Organisation et la diffusion de l’image réelle de l’Islam à l’extérieur.
Le Secrétaire général a félicité le nouveau Directeur Général de l’Agence pour sa prise de fonction à la tête l’IINA et lui a souhaité plein succès dans sa mission, tout en l’assurant du soutien de l'Organisation et de la présidence du Conseil d’Administration, afin qu’il s’acquitte pleinement des tâches qui lui sont confiées. Il a, par ailleurs, adressé ses remerciements à l’ex- Directeur Général de l’Agence, Monsieur Abd Al Wahhab Kachif, pour les efforts qu’il a déployés durant son mandat.
Le Docteur AbdouLLAh Al Jasser, vice- ministre de la culture et de l’information du Royaume d'Arabie Saoudite pour les affaires de l’information, a représenté la ministre de la culture et de l’information à cette cérémonie qui s’est déroulée en présence de représentants de la BID (Banque Islamique de Développement). La BID, rappelle-t-on, avait gracieusement accepté de financer l’étude sur la restructuration de l’Agence.
